LES ANONYMES
J’ai souhaité centrer mon travail sur l’individu qui habite la ville et comment ce dernier vient occuper l’espace.
Les photographies sont toutes prises depuis la fenêtre de mon appartement, visant la rue et les intérieurs en vis-à-vis.
Il y a à travers ces photographies une volonté poétique dans l’acte d’observation. Un parallèle se créé entre l’observateur et la personne observée qui finalement sont dans une situation similaire, la fenêtre agissant presque comme un miroir.
C’est un projet en deux parties, et les photographies prennent leur sens dans l’accumulation et le rapport qu’elles façonnent entre elles. Une première partie du projet est composée de photos prises au téléphone portable, évoquant les dispositifs de surveillance présents dans les espaces publics.
Quant à la deuxième partie (les photographies infra-rouge), leur format et leur mise en page finale créent un autre rapport entre les images, bien plus lié à l’univers cinématographique.
Ce travail est produit afin d’être consulté dans un rapport au flux d’images, il est donc préférable de le voir en visitant ces liens :
https://marie-michalikova.hotglue.me
Et https://marie-michalikova.hotglue.me/?negatif/ (deuxième partie du travail)
