Adélèyè Chogolou

A LA LIMITE DE MON ESPACE

On peut voir la ville comme un calque de l’art, leurs centres et leurs essences sont troubles et à première vue hostiles pour ceux qui n’en connaissent pas les codes et les normes. Les centres, que l’on définit comme première zone, entrent en contraste avec une seconde zone, les périphéries, qui semblent plus vivables, moins denses et moins contraignantes. Cette seconde zone est notre quotidien, un endroit agréable et habituel. Donc, comment réussir à s’intégrer dans ces (nouveaux) espaces ? Cette expérimentation cherche à traduire ce sentiment d’enfermement à travers une appropriation des espaces, puis dans leur expansion pour non pas en prendre le contrôle, mais savoir composer avec l’ensemble.